Statistiques

1 /5 jeunes à un parent vivant avec un trouble de santé mentale.

Ces jeunes sont affectés dans leur vie sociale, leur réussite scolaire et leurs projets d’avenir. Ils sont plus à risque de développer eux-mêmes un trouble de santé mentale. Ils ne vont généralement pas chercher de l’aide en raison des tabous et parce qu’ils ne connaissent pas les ressources d’aide.

Source : Santé mentale: nous devons en faire une priorité nationale | JDM (journaldemontreal.com)

1 jeune sur 2 souffrirait de symptômes liés au trouble d’anxiété généralisée ou de dépression majeure.

Source : « Il y a une détresse psychologique chez les jeunes » – Québec Science (quebecscience.qc.ca)

Le nombre de Québécois de 12 à 17 ans admis à l’hôpital pour des raisons de santé mentale à la suite d’une visite à l’urgence a augmenté de 40% en janvier et février (2021), par rapport à la même période l’an dernier, selon des statistiques de l’Hôpital de Montréal pour enfants (HME).

Source : Hausse du nombre de préadolescents et d’adolescents souffrant de problèmes de santé mentale | JDM (journaldemontreal.com)

Les enfants dont l’un des parents souffre d’un trouble de santé mentale majeur sont de 15 à 20 fois plus à risque de développer une maladie du même spectre que celle de leur parent.

Source : Le programme HoPE | Accompagner les familles aux prises avec un trouble de santé mentale | La Presse

Ce sont les jeunes qui sont les plus vulnérables: 75% des maladies mentales et des problèmes de santé mentale se manifestent avant l’âge de 25 ans, et plus de 50% surviennent entre 11 et 25 ans.

Source : Santé mentale: les adolescents laissés-pour-compte | La Presse

Au Canada, 1 jeunes sur 11 a reçu une prescription d’antipsychotique ou médicament pour traiter des troubles anxieux ou de l’humeur en 2018-2019.

Source : La santé mentale des enfants et des jeunes au Canada — infographie | ICIS (cihi.ca)

Un portait général permet de cibler que les problématiques vécues varie selon le sexe de la personne :

Chez les filles, il y a plus d’anxiété, de dépression et de troubles des conduites alimentaire.

Chez les garçon, il y a plus de TDA/H/.

Ceci dit, personne n’est à l’abri de développer des manifestations de troubles en santé mentale.

Source : La santé mentale des enfants et des adolescents : données statistiques et enquêtes recensées (gouv.qc.ca)